Journal poétique Soliloques et propos Images et plus
On se laisse certes émouvoir Par l’affection que l’on nous montre, Or l’amitié peut décevoir, Lors de crises que l’on rencontre. C’est quand on est dans le besoin, Qu’une présence réconforte. Parfois même, on dépend des soins Qu’une âme aimante nous apporte....
Lire la suiteEn marge de la campagne présidentielle en France L’ambition n’est pas condamnable. Elle pousse à se dépasser, On applaudit face au succès De tous les êtres respectables. Mais on peut avoir la nausée En présence d’un arriviste Avéré vil, plus qu’égoïste,...
Lire la suiteLes faits qui provoquent la mort, Engendrent un sentiment d’horreur. Quand ils ne sont pas dus au sort. Sentent la rage dans leurs pleurs, Confrontés au pire des crimes, Les endeuillés d’une victime. Il leur est difficile alors, De se voir privés de ce...
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Le présent nous force, nous presse. Il faut s’activer constamment, Réagir certes promptement, Se ressourcer dans la tendresse. Il faut s’activer constamment, Vrai le tourbillon n’a de cesse. Se ressourcer dans la tendresse, Savourer de troublants instants!...
Lire la suiteLe photographe des faubourgs Est accompagné d’une muse. Elle ne transcende ni ruse, Le guide dans l’ombre des cours. Il voit des êtres et les devine. Capte une expression, un émoi, Par chance, un sourire de joie, Espérance quasi divine. Face à l’ombre,...
Lire la suiteImmense espace qui sommeille, Le ciel, ce jour, n’a pas d’âme. L’orage en a éteint la flamme. Où s’en sont allées ses merveilles? Le ciel, ce jour, n’a pas d’âme. Restant inactive, je veille. Où en sont allées ses merveilles? Face au sublime, je me pâme....
Lire la suiteÀ Rosyline Pendant quelques mois, il s’absente. Certes pimpant, il reviendra. Dans les jardins, il répandra De tendres couleurs odorantes. Certes, pimpant, il reviendra, Dans un flot d’énergie vibrante, De tendres couleurs odorantes. Le vieillissement...
Lire la suiteTous les cours d’eau vont à la mer. En traversant vallées et plaines. La voie des hommes est incertaine, S’arrête au bord d’un gouffre ouvert. En traversant vallées et plaines, Chacun glorifie l’univers. S’arrête au bord d’un gouffre ouvert, Y disparaît...
Lire la suiteDe ma mère, j’avais hérité l’habitude De chanter à tue-tête, oubliant mes soucis. J’ai gardé ce besoin, ayant grandi ainsi. C’était une impulsion dans la béatitude. Seule ou accompagnée, sur les routes souvent, Au volant, en vélo, plongée dans l’allégresse,...
Lire la suiteEn hommage aux patriotes de Lybie Chacun pour soi et Dieu pour tous, nous a-t-on dit. On aspire au bonheur, dès lors, on se protège, On flaire le danger, on évite les pièges. À ses dépens, parfois, chacun a bien compris. Certains, plutôt nombreux, ne...
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